Flashback - 2000
Enfant, Jeannette a été témoin du meurtre de ses parents, sauvagement assassinés à la faucille par un individu portant des vêtements de femme. Aujourd'hui adulte, et après de longues années passées dans un centre psychiatrique, elle est prête à redémarrer une nouvelle vie. Mais son passé n'a pas fini de la hanter : des personnes de son entourage disparaissent, victimes à leur tour du mystérieux tueur à la faucille...
Oh un slasher allemand ! J'ai aimé chez eux The Pool et Anatomie... Là je vous raconte pas comment j'ai halluciné avec ce film !!!
Allez je vous raconte :
Ma critique sera assez "spoilante", mais ce n'est pas grave car je doute fort qu'après l'avoir lu, vous aurez envie de voir ce film...
Tout commence normalement donc : une fille et un mec qui flirtent dans la cabine d'un train et soudain swiip, coup de faucille ! Puis on enchaine sur un autre meurtre, celui des parents de notre héroïne : c'est gentiment sanglant et le tueur est déguisé en femme (une vieille robe à fleurs toute laide + une perruque) pour du "Psychose" en rire !
Des années passent, notre héroïne donc ici plus âgée sort du centre de psy, on lui confie même un job (histoire de se réinsérer et d'aller encore mieux), celui de prof d'italien particulier pour trois ados gosses de riches dont les parents sont loin en vacances. Un frère et deux soeurs, elle est à peine plus âgée qu'eux et voilà ti pas que le jeune homme tombe sous le charme... Et balabala, et moi je m'ennui...
Puis voilà une initiative ! Une fête s'organise (oui la maison est grande avec terrasse et piscine) avec plein d'ados (amis) et là on se dit : Chouette voilà l'excuse pour un petit massacre sans scrupule, vu tous ces crétins qui jouent à "montrez-nous vos seins dans la piscine" ou des crétines qui s'appellent avec leur portable alors qu'elles sont à 5 mètres l'une de l'autre (le pire c'est qu'elle font exprès !)... Et devinez quoi chers (es) lecteurs (rices) ??
Rien, niet, nada ! Pas de seins ni de meurtres !!
Oui, il l'a fait le mec (il s'appelle Michael Karen pour info...) : une fête qui ne sert à rien !
Alors là je me dis : Sois tu repars avec les invités (tu étiens donc) ou sois tu fais l'after, qui c'est ? Ca peut être plus drôle voir plus gore ?!
Bien vu, le deuxième acte vire à la parodie et à la niaiserie campagnarde, on oublie déjà le début et le but initial de Flashback, on sait juste qu'il y a un tueur (et une faucille).... Courage, courage, plus que 30 min. De la parodie se dévoile un twist pour le dernier acte (pas bête ceci dit). Un retournement de situation qui n'a plus d'effet, vous comprendrez bien, vu ce que l'on endure avant d'en arriver là !
Final qui offre meurtres rouges et du rythme, mais bon c'est naze ! C'est mal filmé, mal joué, mal écrit (ou pas écrit ?!)...
Pour finir je dirai qu'avec Flashback je suis d'accord sur un point (si si) : Une des filles qui dit que le cornichon dans le Cheessburger c'est dégeu et que ça sert à rien ! Je suis 100 % d'accord avec elle !!
Sous-titres : Gare au faucille
Genre : Faucille non affûtée
Enfant, Jeannette a été témoin du meurtre de ses parents, sauvagement assassinés à la faucille par un individu portant des vêtements de femme. Aujourd'hui adulte, et après de longues années passées dans un centre psychiatrique, elle est prête à redémarrer une nouvelle vie. Mais son passé n'a pas fini de la hanter : des personnes de son entourage disparaissent, victimes à leur tour du mystérieux tueur à la faucille...
Oh un slasher allemand ! J'ai aimé chez eux The Pool et Anatomie... Là je vous raconte pas comment j'ai halluciné avec ce film !!!
Allez je vous raconte :
Ma critique sera assez "spoilante", mais ce n'est pas grave car je doute fort qu'après l'avoir lu, vous aurez envie de voir ce film...
Tout commence normalement donc : une fille et un mec qui flirtent dans la cabine d'un train et soudain swiip, coup de faucille ! Puis on enchaine sur un autre meurtre, celui des parents de notre héroïne : c'est gentiment sanglant et le tueur est déguisé en femme (une vieille robe à fleurs toute laide + une perruque) pour du "Psychose" en rire !
Des années passent, notre héroïne donc ici plus âgée sort du centre de psy, on lui confie même un job (histoire de se réinsérer et d'aller encore mieux), celui de prof d'italien particulier pour trois ados gosses de riches dont les parents sont loin en vacances. Un frère et deux soeurs, elle est à peine plus âgée qu'eux et voilà ti pas que le jeune homme tombe sous le charme... Et balabala, et moi je m'ennui...
Puis voilà une initiative ! Une fête s'organise (oui la maison est grande avec terrasse et piscine) avec plein d'ados (amis) et là on se dit : Chouette voilà l'excuse pour un petit massacre sans scrupule, vu tous ces crétins qui jouent à "montrez-nous vos seins dans la piscine" ou des crétines qui s'appellent avec leur portable alors qu'elles sont à 5 mètres l'une de l'autre (le pire c'est qu'elle font exprès !)... Et devinez quoi chers (es) lecteurs (rices) ??
Rien, niet, nada ! Pas de seins ni de meurtres !!
Oui, il l'a fait le mec (il s'appelle Michael Karen pour info...) : une fête qui ne sert à rien !
Alors là je me dis : Sois tu repars avec les invités (tu étiens donc) ou sois tu fais l'after, qui c'est ? Ca peut être plus drôle voir plus gore ?!
Bien vu, le deuxième acte vire à la parodie et à la niaiserie campagnarde, on oublie déjà le début et le but initial de Flashback, on sait juste qu'il y a un tueur (et une faucille).... Courage, courage, plus que 30 min. De la parodie se dévoile un twist pour le dernier acte (pas bête ceci dit). Un retournement de situation qui n'a plus d'effet, vous comprendrez bien, vu ce que l'on endure avant d'en arriver là !
Final qui offre meurtres rouges et du rythme, mais bon c'est naze ! C'est mal filmé, mal joué, mal écrit (ou pas écrit ?!)...
Pour finir je dirai qu'avec Flashback je suis d'accord sur un point (si si) : Une des filles qui dit que le cornichon dans le Cheessburger c'est dégeu et que ça sert à rien ! Je suis 100 % d'accord avec elle !!
Un stock-shot de "La cité de la peur ". Attention chéri, ça va couper
Avant l'attaque au marteau en papier, l'attaque à la faucille en plastique. L'international communiste est de retour.
"Flashback", un film main...stream ?
La dernière pasionaria guévariste n'a plus toute sa tête. Elle prend un arbre pour un suppôt du capitalisme.
Le regard vide, l'absence d'expression, les pupilles fixent, pas de doute on est bien dans un slasher.
Drame de la différence. Encore une actrice de slasher rejetée par sa famille.
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