Genre : Somnifère préhistorique
Sous-titres : Quand les dinosaures se tapaient les blondes
Once upon a time, la préhistoire. Les hommes sont virils, les femmes des bombasses, les poitrines sont arrogantes, les croupes chaleureuses, les dentitions parfaites, les peaux parfumées. La lune n’existe pas encore ( ben quoi ? ), le soleil si. Du coup le soleil n’a pas encore rendez-vous avec la lune, par contre les blondes ont rendez-vous avec le soleil et les brunes ne comptaient déjà pas pour des prunes.
Oui, les blondes se la donnaient moins à cette époque, vu qu’elles étaient jetées vivantes et peroxydées dans la Mer du haut d’une falaise super haute.
Pourquoi ? par racisme ? par envie ? non, pour que le soleil réapparaisse tous les matins.
Une blonde moulée à la louche et prénommé Sana ne sera pas à la noce, elle réussira à s’enfuir pour se taper un fin connaisseur nommé Tara aux muscles saillants et à la rotondité sous son short du meilleur aloi.
Ils se débattent dans l’eau, on voit Sana nue, on constate qu’on peut vivre à plusieurs au milieu de sa généreuse poitrine.
Sana se cache dans un oeuf de dinosaure, elle assiste à la naissance d’un bébé nosaure tout mignon, elle est adoptée par la maman nosaure.
Las, elle se fait enlevée par un ptérodactyle qui l’a trouve à son goût, mais Tara la retrouve et ils vivront heureux avec les dinosaures en évitant même un ras de marée et tout ça.
A la fin, la lune apparaît et elle pourra donc se taper le soleil.
Les deux précédents «préhistoriques-movie » de la Hammer n’avaient déjà pas procuré un sentiment de plénitude, celui-là ne dérogera pas à la règle.
Décors en carton, interprètes qui paient leurs impôts, aventures aux limites du grotesques, crêpages de chignons entre blondes et brunes, dinosaures en plastiques et fx d’époque.
On s’ennuie ferme, à peine réveillé par les ravissantes et plantureuses damoiselles qui parcourent le film.
Les accros de ce type de bobines y trouveront sans doute leurs comptes, les autres bailleront aux corneilles ou se repasseront en boucle la scène où la divine Sana apparaît nue au sortir de l’onde telle une déesse de l’antiquité qu’elle ne connaissait même pas.
Pauvre Val Guest, obligé de se coltiner ce genre de réalisation pour pouvoir manger...
Notons tout de même que Victoria Vetri ( Sana ) joua le rôle de Terry dans le «Rosemary’s baby » de Polanski, en plus habillée cependant.
Scène de zoophilie inversée. Le tricératops tente de fister le monsieur.
Oh regardez ! Le ridicule tout là-bas !
-Coucou chérie, c'est moi, qu'est ce qu'on mange ?
Encore une omelette ! Pfff..
Regard vide, décolleté avenant, symbole phallique en main. L'atavisme de la blonde remonte donc à loin.
La production est fier de vous présenter un extrait de son casting.
Oh regardez ! Le ridicule tout là-bas !
-Coucou chérie, c'est moi, qu'est ce qu'on mange ?
Encore une omelette ! Pfff..
Regard vide, décolleté avenant, symbole phallique en main. L'atavisme de la blonde remonte donc à loin.
La production est fier de vous présenter un extrait de son casting.
Waowww, je suis nue, je suis jeune, je suis belle et waoww je fais des ploufs avec mes pieds. Waowww.
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